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écœurant
Par Anonyme, le 01.11.2020
sur un plateau de tv un intervenant disait qu’il y avait eu moins de morts à bordeaux qu’à l’ihu de marseille.
Par Defendeur, le 07.06.2020
qu’est-ce que vous entendez par des chiffres faussés en gironde par exemple ?
Par M. Meyer, le 07.06.2020
sauf à vouloir passer ou non pour quelqu'un de sérieux
Par Anonyme, le 15.05.2020
qu’il soit chirurgien cardiaque ou digestif ne change rien au problème.
Par Anonyme, le 15.05.2020
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Date de création : 10.07.2019
Dernière mise à jour :
17.06.2021
26 articles
Ces deux courbes montrent l'évolution du nombre de cas et décès après la décision de préconiser l'Ivermectine dans le cadre du protocole de lutte contre le COVID19 en Inde. Relation de cause à effet ou coïncidence ?
Le consensus mondialisé :
Le gouvernement français, pour la seconde fois depuis mars 2020, renforce l'interdiction imposée pour l’hydroxychloroquine par celle d’autres traitements médicamenteux, type ivermectine, de la Covid19, exception faite des traitements dits de confort, type paracétamol ou alors à un stade beaucoup plus tardif de la maladie. lire ici
Cependant, les publications des résultats mondiaux des traitements prophylactiques et précoces par l’ivermectine dans la limitation de la progression des premières phases de la maladie invite à réfléchir sur une attitude qui peut paraître stupéfiante et sans doute spécifique des différents intervenants de l'autorité sanitaire à la française, mais également des détracteurs institutionnels de l’OMS qui rejettent comme « non fiable » ou « fakes » l’immense corpus des preuves mondiales qui n’abondent pas dans le sens officiel. Comme par exemple ceux publiés par l’International Journal of Environmental Research and Public Healthou d’autres revues aux titres anglophones ronflants dont des enquêtes détaillées montrent, sans le moindre doute, qu’elles peuvent être AUSSI originaires de pays… producteurs de molécules d’ivermectine ou d’hydroxychloquine. Comme l’Inde.
Defendeur écarte de préférence – sauf cas d’école comme celui du fiasco Remdesivir aux USA – toutes les accusations habituelles et plus ou moins complotistes d'intérêts liés au Big Pharma et à la vente massive de vaccins coûteux mais serait plutôt tenté d’analyser d’abord, et surtout, les mobiles sociologiques et sanitaires de ce rejet bien orchestré de l’ivermectine également spécifique de nombreux pays où la libre pensée, la culture contestataire et les cultures traditionnelles se côtoient et se renforcent jusqu’au paradoxe.
Nous aurons à y revenir dans un prochain article sur le bien-fondé (ou non ?) des tenants et aboutissants de la stratégie vaccinale.
Il reste néanmoins qu’une molécule actuellement contestée, l’ivermectine, affiche d’excellents résultats dans de nombreux pays qui sont tous, comme par hasard, demandeurs de traitements peu coûteux.
Les résultats spectaculaire de l’ivermectine au Brésil.
De notoriété mondiale, Europe, Asie, Amériques, les entreprises spécialisées dans l'agro-alimentaires constituent un milieu fermé propice à la pandémie.
Ainsi aux Etats-Unis, dès juillet 2020, ce sont 4300 à 5200 décès qui étaient déjà comptabilisés dans ce type d'entreprises. L'usage en vigueur était de recommander la distanciation, le port du masque et la mise en quarantaine dès l'apparition des symptômes. Mais les traitements symptomatiques n’étaient appliqués qu’après la déclaration de la maladie. Lire ici
A la suite de l’initiative heureuse de traitement précoce par l’ivermectine du Dr Christiana Altino de Almeida, le Dr Adler Menezes Dourado, médecin de la multinationale GT Foods, a proposé une prophylaxie à l’ivermectine aux 12 000 employés locaux de la firme, soit un comprimé de 6 mg par 30 Kg de poids par semaine sans dépasser 18 mg ainsi qu’un apport en vitamine D.
Jusque-là on dénombrait 10 à 15 tests positifs par jour, nécessitant de mettre les malades en quarantaine.
Le 27 juillet 2020, la quarantaine totalisait 143 cas positifs. Deux équipes, l’une de jour, l’autre de nuit étaient concernées, l’une comptant beaucoup plus de cas que l’autre.
A la 2ème semaine d’application du protocole préventif, l’entreprise ne déclarait plus au total que 76 personnes en quarantaine contre 6 à la 4ème semaine, puis 2 seulement à la 5ème semaine.
La réduction des infections dans les deux équipes a permis d’écarter l’effet du hasard.
Dans certaines usines, des résultats ont été moins probants. Toutefois plusieurs malades ont avoué ne pas avoir suivi le traitement préventif.
Autre constat : la comparaison des résultats 5,55 fois meilleurs pour l’Etat brésilien du Para, lors de la deuxième vague que ceux de l’Etat voisin de l’Amazonas où seules les mesures préconisées par l’OMS étaient appliquées, par pénurie de médicaments en Amazonas, alors que le nombre de décès par million d’habitants de ces deux états étaient pratiquement identiques au cours de la première vague de la pandémie.
Et pendant le même temps l’hécatombe continuait dans les résidences pour personnes âgées où le traitement ne débutait qu’après l’apparition de la maladie.

Ces résultats sont à rapprocher de ceux, déjà décrits par Defendeur, dans l’Etat mexicain du Chiapas
Des conclusions convergentes
La multiplicité des témoignages mondiaux (y compris canadiens), l’attente de plus amples informations, sans augurer par ailleurs de la validité des enquêtes de l’OMS, conduit à s’interroger une fois de plus sur une politique ultra-répressive à l’encontre des promoteurs de traitements par l’ivermectine, tels le Dr Gérard Maudrux aujourd’hui sous le coup d’une procédure disciplinaire ordinale. Lire ici
Dans le cas de l’hydroxychloroquine, souvent associée aujourd’hui à l’ivermectine, Defendeur avait aussitôt déclaré prendre parti pour son promoteur, le Pr Didier Raoult, sans autre certitude irréfutable que l’attitude abracadabrante du gouvernement qui interdisait son emploi à un moment où il n’avait rien d’autre à proposer que le désespoir ou des recommandations ridicules dont on rira encore longtemps.
Les résultats aujourd’hui bien mieux connus de l’hydroxychloroquine nous confortent dans notre opinion d’avoir eu totalement raison.
Defendeur
Autres références utiles :
Food manufacturing and processing health and safety during COVID-19 | Ontario.ca
Coronavirus: Why have there been so many outbreaks in meat processing plants? - BBC News
Covid-19 - Traiter ou ne pas traiter ? Un exemple au Brésil | Le Club de Mediapart